L’Ukraine vient de frapper un grand coup : le Parlement a adopté une loi qui légalise et taxe les cryptomonnaies. Objectif affiché : donner enfin un cadre clair aux actifs numériques, préciser comment ils seront imposés et encadrer l’activité des plateformes. Pas de révolution du jour au lendemain, mais une normalisation attendue qui doit rassurer investisseurs et entrepreneurs. L’idée est simple : attirer capitaux et talents sans laisser la porte ouverte aux dérives. Reste à voir comment les décrets d’application fixeront les règles du jeu. Une certitude : Kiev veut s’affirmer comme crypto-friendly, mais sans perdre le contrôle.
Ce que dit la loi : reconnaissance, fiscalité, obligations
La nouvelle loi ukrainienne légalise l’usage des cryptos et encadre leur fiscalité. L’objectif est très clair : offrir un terrain de jeu lisible autant pour les particuliers que pour les entreprises. Dans les grandes lignes, le texte définit ce qu’est un actif numérique, reconnaît officiellement les prestataires, et impose aux plateformes locales des règles strictes de conformité (KYC, lutte anti-blanchiment, transparence).
Il reste au ministère des Finances à préciser les détails : niveaux d’imposition, seuils de déclaration ou éventuelles exemptions. Mais la direction est fixée : donner de la visibilité juridique et instaurer un cadre fiscal pour structurer un écosystème jusqu’ici en zone grise.
Pourquoi c’est important pour le marché
En posant un cadre légal et fiscal clair, l’Ukraine fait sauter un verrou majeur et ouvre la porte à l’investissement, qu’il soit local ou international. Les entreprises crypto peuvent désormais s’installer, recruter, lever des fonds et travailler avec les banques locales sans naviguer dans le flou. Pour les investisseurs, c’est un gage de sécurité juridique et de transparence, et pour l’État, une source de recettes fiscales tout en stimulant l’innovation.
« Le Conseil a voté en première lecture la proposition n° 10225-d : légalisation du marché des actifs virtuels (cryptomonnaies) en Ukraine et définition des règles de leur imposition.
Adopté avec 246 voix.
Je ne vois pas l’intérêt d’écrire sur ce sujet avant longtemps ; de nombreux changements sont attendus d’ici la deuxième lecture.
P.-S. : Les impôts généraux seront de (18 + 5 %) sur les bénéfices et, la première année, un taux préférentiel de 5 % sera appliqué à la sortie vers la monnaie fiduciaire. On ne connaît pas encore le régulateur (BNU ou NCSM).»
Dans l’immédiat, on peut s’attendre à voir fleurir de nouveaux projets : exchanges, fintechs, initiatives de mining plus vert, avec des ajustements à mesure que le cadre sera éprouvé sur le terrain.
Maxi Doge ($MAXI) : le meme coin communautaire avec une ossature

Maxi Doge assume la culture meme (ton décalé, viralité) mais cherche à l’ancrer dans une mécanique durable. Communauté très active, récompenses, staking et plan marketing suivi dans le temps sont ses forces. L’ambition est de convertir la traction sociale en boucle vertueuse : visibilité → nouveaux entrants → liquidité → usages. Les ingrédients de l’un des meilleurs memecoins de cette génération ? Il semble bien.
Tokenomics & mécanique : le site met en avant une présale à paliers avec prix progressif et intégrations wallet. Des analyses tierces évoquent des APY élevés sur le staking et des campagnes communautaires (concours, partenariats). Comme toujours, ces promesses doivent être vérifiées à chaque jalon.
Pour rester pertinent, le projet pousse de petites briques d’utilité (mini-apps, intégrations social/wallet). En bref, un meme coin structurel, pas une simple étincelle.
Snorter Token ($SNORT) : le mème qui vend un bot de trading

Snorter Token se positionne comme un bot / assistant de trading (sniper Telegram, suivi de portefeuille, exécution rapide), avec un token qui sert à récompenser l’usage, staker et gouverner certaines fonctions. Le pari c’est de passer du simple buzz meme à un outil qui retient des utilisateurs sur la durée.
La communication publique met en avant une présale accessible depuis le site, compatible avec plusieurs réseaux / wallets. Également des paiements en ETH, SOL, USDT / USDC voire carte selon les intégrations relayées par les médias. Acheter des cryptos par carte bancaire devient donc parfaitement accessible.
Là encore, tout repose sur l’exécution : livrer un bot stable, une UX simple, et une sécurité auditée. C’est beau de promettre, c’est mieux de faire.
Conclusion
La légalisation et la fiscalité des cryptos en Ukraine, envoient un signal on ne peut plus clair : encourager l’innovation tout en gardant la main. Objectif double : créer un terrain lisible pour les entreprises et générer des recettes fiscales. Mais tout dépendra des détails pratiques : taux, décrets d’application, et capacité à appliquer les règles sans brider l’initiative privée.
Pour les projets, le message est limpide : seule l’exécution comptera. Qu’il s’agisse d’un meme coin structuré comme Maxi Doge ou d’un outil tourné vers le trading comme Snorter Token, la demande sera là si sécurité, liquidité et roadmap sont au rendez-vous. En 2025, la prime va aux équipes qui livrent, pas à celles qui promettent. L’Ukraine, de son côté, vient d’ouvrir la porte, reste à voir qui saura la franchir avec sérieux.






